Coco Paradise - Lolitas malgré moi!

Avant de commencer l'intro, quelque précisions s'impose!
Ici, les lolitas ne sont pas DU TOUT des sweets Lolitas, mais des lolitas tout court. Pas non plus lolitas...lolitas x) mais lolitas moderne et bien occidentale. C'est-à-dire mini-jupe, top rose, robe à pailettes, froufrou, toujours à la dernière mode, fille à papa...Bref, lolita est un synonyme de barbie dans cette fiction :)
Plusieurs fois, vous retrouverez le mot Gay :
ce n'est pas une injure, c'est juste que Coco Paradise est un centre comerciale féminin, donc les vendeurs sont souvent gay, et les mec sont soit avec leur copine, soit gay.
Un ptit dico pour vous aider :
Se faire vomir dessus par une lolita : être fringuée comme une lolita mais ne pas en être une
La fille moche prend l'ascenseur : le ton monte (dans le sens que les voix s'emportent)
Comme si elle était née sous un projecteur : se prendre pour une star
J'étais son hamster : elle testait tout sur moi
Le reste viendra avec le temps...

Au milieu des princesses et des lolitas, je me sentais aussi nouille que perdue. Je venais de sortire d'une de ces boutiques pour barbies que je détestais où je venais de me faire vomir dessus par une lolita qui, manque de chance, était une de mes meilleures amies. Elle m'avait, malgré moi, amenée à Coco Paradise, le plus grand centre commercial uniquement féminin que j'ai jamais vu. Et pour mon plus grand bonheur, Coco Paradise est le coin le plus fréquenté par les filles riches et sapées comme des poupées. Quand nous sommes rentrées chez Pink & Blue, j'ai clairement fais semblant de m'interresser à ce que me disais Andrea. Alors que j'écrivais des idées pour le chapitre 5 de "La revanche de Marie Curie 2" dans mon carnet, Andréa me demanda de sa voix haut-perchée comment je trouvais la robe qu'elle me montrait :
"Andy, c'est le genre d'horreur que je déteste, mais ce serais superbe sur toi! répondis-je en admirant l'horreur à froufrou et à paillettes.
- Sur moi? s'exclama-t-elle en riant. Jââââmais! C'est pour toi, chérie!" dit-elle en me colant la mini-robe dans les mains et en me poussant dans une cabine.
"ANDY!" hurlais-je en sortant, furieuse, de la cabine, fagotée comme Miss Nunuche 2011.
J'avais beau regarder, je ne la voyais pas.
"Andy? Andy! criais-je dans le magasin
- Vous cherchez la brunette de tout à l'heure, jeune fille? me demanda le gay derrière le contoir.
- Oui, vous l'avez vue? répondis-je en m'aprochant.
- Un peu que je l'ai vue! Elle parlait au téléphone comme une bécasse et était habillée à la dernière mode, impossible de la râter. Wahou, j'y crois pas! De toute les clientes qui ont essayez cette robe, c'est vous la plus belle! Oh oh, ne sortez rien! me dit-il en voyant mon portefeuil. Votre copine a payez pour vous!
- Ah! Bon, il faut que je la retrouve, aurevoir!
- Minute! s'écria-t-il en sortant de derrière sa caisse. Vous n'allez pas sortire avec cette robe et ces chaussures! dit-il en observant mes converse. Des talons s'imposent!
- DES TALONS? m'écriais-je en le voyant sortire une boite d'escarpin rose et bleu, comme ma robe. J'en ai jamais porté de ma vie!
- Il y a un début à tout, chérie! dit-il en ponctuant sa phrase par un geste de la main digne d'un gay stylé qui vend des fringues de luxe.

Voilii voiloou!

J'adore ! J'adore j'adore j'adore ! Vivement la suite =D

Merci merciii!

De rien va :) C'est drôle et entraînant en même temps x)

Chapitre 1 - Un étalage de petites princesses
Enfin, je sortais de chez Pink & Blue avec des escarpins aux pieds et le numero de portable de Simon, le vendeur, enregistré dans mon répertoir. Il m'avait, par la même ocasion, passé un sac à main assortit à ma tenue (sac à main qui n'était évidemment pas dans mes moyens, ainsi que les chaussures et tout ce qui se trouvait dans cette boutique).
"Je mets ça sur mon compte, chérie! m'avait-il di gentillement. Avec une cliente si jolie et un salaire pareille, je peux me le permettre."
Je l'avais quitté avec mille merci, même si je n'en pensais pas mots : que n'aurais-je donné pour réintégrer mon jeans et mes basket? Je me retrouvais donc seule, à la recherche d'une lolita parmi les lolitas. Autant dire mission impossible, car pour moi, chacune de ces filles pouvait être Andréa. J'aurais bien voulu l'appeler, mais la batterie de mon portable m'avait lachée peu après que j'eu rentré le numéro de Simon. Je profitais de cet instant de répis pour observer attentivement les petites princesses qui m'entouraient. Celles qui étaient seules piallaient au téléphone comme si elles étaient réellement seules, d'autres étaient avec leur chéri et d'autres encore étaient entre copines. Je me retrouvais donc seule, comme une idiote, à scruter toute ces poupées. En passant devant une vitrine, j'ai vu mon reflet : qui était cette fille qui me ressemblais comme 2 goute d'eau, mais qui était habillée comme je l'ai toujours détesté? Ce n'était pas moi, ça ne pouvait pas être moi. Et pourtant, j'étais bien là, à me regarder, horrifiée comme je ne l'avais jamais été. Étrengement, je n'avais aucun mal à marcher avec des escarpins, grâce aux conseils de Simon : marcher d'un pas légé et rapide, en regardant où je mettais les pieds.
Au bout d'une heure, une légère douleure se fit ressentire au niveau du talon et, comme je mourrais de faim, je m'arreta au café le plus proches. Là au moins, je n'allais pas tomber à cours d'argent.
"Bienvenue au Coco Café! me dit une serveuse aux allures de midinettes. Puis-je prendre votre comande?
- Heu...un thé glacé et un chausson aux cersises s'il vous plait, répondis-je timidemant en remarquant que toute les filles qui m'entouraient avait ça.
- Ça vient tout de suite!" répondit la jolie serveuse en repartant comme l'éclair sur ses rollers blade aussi rose que son unifore.
"Ne pas faire tache, ne pas faire tache" me répètais-je sans cesse.
La serveuse revint et déposa ma comande sur ma petite table. Voyant les autres siroter leur thé sans toucher à la patisserie, je n'osais pas mordre à pleine dents dans le chausson, mais j'en mourrais d'envie. Pour éviter d'attirer les regards, je mangea le plus proprement et le plus discretement possible.
Une fois reposée et plus si affamée que ça (oui, il en faut peu pour me caler, ce qui explique ma taille fine), je repris mes recherches. Ne sachant pas trop pourquoi, je profitais de l'ocasion pour flâner dans cet univers qui n'était pas le mien. Bien qu'intérieurement je rêvais de retourner sur mon ordinateur pour écrire, je m'amusais bien. Je me sentais comme une détective à la recherche d'indice pour retrouver un criminelle. Pour m'avoir fagotée comme ça, je jugeais que Andréa en était une. Comme Andy se comportait toujours comme si elle était née sous un projecteur, j'écumais les boutiques où j'étais sure qu'elle était passée : Bling Bling, Superstar, So Cute, Flash, Pink & More, Coco Star, et bien d'autre encore. Je ne sais pas combien de temps je suis restée au Coco Paradise, mais le soleil se couchait peu à peu quand je trouva enfin une cabine téléphonique. Je glissais assez de pièce dans la machine pour tenire 20minutes.
"Allo? Andy? C'est Marise! Comment t'as pu m'abandonner?
- Marise! Oh chérie, je suis désolée, mais je devais filer. Simon ne t'a pas donné le mot?
- Quel mot? Bref, je suis paumée moi en attendant! Andy?
Tuut, tuut, tuut."
Cette étourdie n'avait sans doute plus de batterie, tout comme moi.

Qu'en pensez-vous?

Trop bien ^^ j'adore

Merciii! La suite arrive :D
Pour les mots ou expression incomprise et non-citée si-dessus, suffit de demander ;)

Chapitre 2 - Ça fait du bien d'être chez sois.
J'avais finalement renoncé à chercher Andréa et me dirigeais donc vers la sortie. En trébuchant sur un cailloux invisible, je me retrouva bien vite dans les bras du plus beau garçon que je n'ai jamais vu de toute ma vie.
"Pa...pardon, j'ai pas l'habitude de...
- Non mais t'es qui toi? s'écria une décolorée au corps de rêve et au maquillage exagérée (sans doute la copine du mec en question).
- Kim, du calme! répondit-il en m'aidant à me remettre debout. Elle a juste trébuché sur...sur...
- Sur rien du tout, dis-je génée. Je n'ai pas l'habitude de marcher sur des talons aussi haut...
- C'est pas une raison! s'emporta-t-elle en me poussant, car j'étais toujours à moitié dans les bras de son petit ami.
- Hé! Du calme princesse, j'ai rien fais de mal moi.
- Kim, Kim! Tu vas pas brusquée heu...
- Marise, dis-je en souriant, et toi?
- Il s'appelle Tad, et il est a moi! hurla Kim en me foutant une claque que j'ai sentie passer.
- Kim! Désolé Marise, franchement! il griffona quelque chose sur un bout de papier et me le donna. Maintenant file, ça vaudrait mieux pour toi."
Je fis ce qu'il me dis : je n'avais pas envie de me retrouver à terre en deux temps trois mouvements. C'était la première et dernière fois que je vus Tad. Je ne l'ai jamais recontacté, je n'ai jamais cherché à la faire d'ailleur. Le genre de mec à se taper 4 lolitas par mois, autant dire que ce n'était pas du tout mon style.
Rentrée chez moi, je mis mon portable à charger, histoire de passer un coup de fil à Andy et peut-être un petit texto de remerciement pour Simon.
"Bonjooooouuur, vous êtes bien sur le répondeur d'Andréa. Je ne suis pas disponible pour le moment, mais si c'est important, laissez-moi un message après le BIP! BIIIIP
- Andy, j'ai passé une sale journée à cause de toi, je tenais à te REMERCIER!" hurlais-je dans le téléphone. Sur son répondeur, elle avait une voix du style des blondes à moitié nue à l'autre bout du fil, pour le téléphone rose. À 17 ans, je vivais dans un apart pas très grand, avec ma cousine du même âge. Elle était studieuse comme pas deux et travaillait après les cours et toute la journée un samedi sur deux, elle n'était donc pas encore rentrée. J'en profitais pour ranger la robe et le reste dans mon armoire, tooout au fond, pour une ocasion spéciale. J'enfilais mon pégnoird et fis couler un bain, j'allumais des bougies et pris un livre, comme chaque fois que je passais une mauvaise journée. Alors que je m'endormais presque dans mon bain moussan, mon téléphone sonna -heureusement que j'en ai un dans la salle de bain- et me fit sursauter.
"Allo? Qui est à l'appareil?
- Marise? C'est Sacha. T'es enfin rentrée!
- Oui, excuse-moi, mais j'ai eu une dure journée.
- M'en parle pas...j'ai eu une cliente des plus oripilantes. Une mamy qui...bref, je t'appelais pour savoir si tu pouvais faire le soupé ou commander des pizzas, je suis pas motivée aujourd'hui et j'ai pas d'idées.
- Tu rentres à quelle heure? Il est presque 21h!
- Je serais là avant 22h...commande des pizzas, c'est plus simple. Il faut que je te laisse, à tout à l'heure!"
Sacha travaillait comme serveuse dans un café plutôt bien fréquenté, ouvert jusque 23h le samedi. La pauvre en avait par dessus la tête de ce boulot, même si c'était un boulot de rêve. Elle me disait toujours que ce n'était pas du tout ce qu'elle voulait faire, mais qu'il fallait bien avoir un petit boulot pour vivre. Sacha, elle voulait devenire décoratrice d'intérieur et moi, écrivain. Elle avait choisit toute la déco de l'apart, et c'était géniale. Elle l'avait décoré de manière à ce qu'il parraisse plus grand. Elle avait aménagé ma chambre pour que je puisse dormire et travailler dans la même pièce, sans être serrée et étouffer dans mon espace personel.
"Allez hop, petit pruneau! Tu as assez fais trempette comme ça!" m'exclamais-je en me levant et en atrapant mon peignoire. Dans la foulée, je pris le téléphone pour appeler le livreur de pizza qui, par ailleur, était mon meilleur ami depuis toujours. Mes amis et moi, on avait tous trouvé un petit boulot, sauf Andy qui, elle, n'en avait pas besoin. Max était livreur de pizza, Jenny était vendeuse, Sacha serveuse, Antony assistant d'un psy et moi assistante de Marianne Salomon, l'écrivain de mon livre préféré, "La revanche de Marie Curie". J'étais chargée de trouver des idées "brillantes", envoyer les chapitres à l'éditeur, appeler l'ilustrateur pour savoir si la couverture avançait, trier les papiers, ect. Ce n'était pas très prestijieux, mais j'étais dans mon élément, c'était tout ce qui comptait.
"Pizza express, les meilleurs pizzas directement chez vous! claironna la voix de Max
- Max, t'es toujours aussi motivé toi! riais-je.
- Marise! Si je m'attendais à ça, un samedi. D'habitude toi c'est le mercredi. Qu'est-ce que je te sert?
- 2 pizzas 4 f'romages Max, et cette fois, pas de remise!
- Arrette, je vais pas te faire payer tes pizzas! T'es ma meilleure amie, je te fais profiter de mes avantages de livreur : 5 pizzas gratuite par mois!" ria-t-il en racrochant. Quand il racrochait si rapidement, ça voulait dire qu'il n'avait pas le courage d'argumenter contre moi et de m'empêcher de payer directement au téléphone. Il était trop gentil Max. C'est comme ça qu'il sait retrouver à moitié mort à l'hopital, Max.

c'est... c'est une belle chute, le pauvre Max j'espère que j'ai bien compris la fin parce que... ( parfois je suis HS )

sinon j'adore la nouvelle histoire, avec tout plein de lolitas.
et puis plein de filles hystériques aussi xD

non c'est sympa, j'aime bien en plus tu ecris à "je" ca rend bien, pour les pensées etc.

Mercii :D J'explique en détail l'aventure de Max dans le chapitre 3, au moment où il apporte les pizzas ;) je vais essayer de le faire bientôt, mais mon week-end est chargé.

Un chapitre qui semble être attendu par Yume, le chapitre consacré à Max.
Bonne lecture!

Chapitre 3 - Max
J'atachais mes cheveux toujours mouillés et enfilais un pyjama rapidement, pour ne pas avoir l'air d'une vieille fille quand Max arriverais. Il m'avait déjà vue danstout mes états, Max. Le pire ce n'était pas décoiffée et en pyjama, mais le visage plein de mascara. Qu'est-ce que j'ai pu pleurer dans les bras de Max! La première fois, c'était parce que mon chat était mort, quand j'avais 6 ans. La deuxième fois, c'était quand mon grand-père était mort, quand j'avais 8 ans. La troisième c'était parce que mon père nous avaient abandonnée, ma mère et moi, sans un mot d'explication, alors que j'avais 12 ans. À partir de là, c'était les disputes stupides, les premiers amours, ect. Il était toujours là, c'était mon meilleur ami, Max. Il était 21h30 quand une clef tourna dans la porte : Sacha apparut, épuisée, dans le salon où j'attendais pensivement mes pizzas.
"Je suis rentrée, dit-elle en s'affalant à côté de moi. Toi, ça n'a pas l'air d'allé...
- Ce n'est rien, va prendre ta douche, toi! On en parlera plus tard." sur-ce, elle me prit dans ses bras et se leva, me laissant ainsi à mes pensées. Alors que Sacha était sous la douche, la sonette retentit, me signalant que Max était là, avec deux pizzas 4 fromages toute chaudes.
"Et voilà!" dit-il en me souriant et en me tendant les pizzas.
Il avait toujours des tas de cicatrices sur les bras, des sicatrices qui ne partiraient jamais. Il y avait aussi celle qu'on ne voyait presque pas, près de son œil. Celle-la, il la cachait avec sa jolie mèche brune. Je lui avais toujours dis à Max qu'il était trop gentil, qu'il finirait par avoir des problèmes. Et c'est ce qui est arrivé. Il avait une petite copine, Helena. Elle l'a largué, Helena, pour un garçon plus... "bad-boy". Ils sont resté en contact, Max et Helena. Mais, un peu trop au gout du nouveau copin d'Helena. Il l'avait prévenu, Steve, qu'il devait arreter d'être gentil avec Helena. Mais Max, il s'en fichait de Steve, Helena était toujours une amie. Mais Steve, il n'aimait pas les garçons trop gentil, surtout avec SA petite amie. C'est comme ça qu'un jour, dans une ruelle, Max s'est fait tapé dessus par Steve et ses potes. Ils avaient des couteaux, les amis de Steves. Ils ont commencé par les bras de Max, puis il a reçu des coups de couteaux dans le ventre. Ils ont continués à le frapper, à le faire saigner, comme si il avait fait quelque chose de terrible, comme si il avait fait quelque chose de mal. Mais Max, il aurait jamais fait de mal à une mouche, il savait pas se battre. Alors il s'est laissé faire, il s'est laissé taper dessus. C'est sa sœur qui m'a appelé ce jour-là. J'avais 15 ans, Max en avait 16, Tara (sa sœur) en avait 16 aussi, et Steve en avait 19.
"Marise! C'est affreux, il faut que tu vienne! elle pleurait, Tara, en me disant ça.
- Quoi? Qu'est-ce qu'il se passe? avais-je demandé sans rien comprendre.
- C'est Max...il faut que tu vienne à l'hopital, vite!"
Je n'ai même pas eu le temps de racrocher, ni de m'habiller. Il était 21h, je venais de sortire de ma douche. Je me suis précipitée dehors, je n'ai même pas fermé la porte de chez moi, je n'ai même pas prévenu ma mère. L'hopital était à quelque pas de course de chez moi. Je pleurais, je pleurais comme je n'avais jamais pleuré. Je suis arrivée dans sa chambre, il était là, inconscient, sous respirateur, avec une pochette de sang à côté de son lit. Tout ses fils relié à son corps, ça m'a fait peur. J'ai tourné de l'œil, je suis allée vomir.
"Les médecins ont dit qu'il est dans le comas pour un moment..." m'avait dit Tara en pleurant et en me serrant dans ses bras, quand j'eu repris mes esprit et que j'eu le courage de regarder Max.
"C'est pas possible...c'est pas possible..." me répètais-je en boucle. Je pensais que c'était de ma faute, que j'aurais du être là. Je savais que c'était Steve et ça bance, à part eux, qui aurait pu en vouloir à Max? Ça ne pouvait être qu'eux. Steve est allé en prison. Steve, je n'en ai plus jamais entendu parler.
Max, il est resté un mois dans le commat. Max j'allais le voir tout les jours. Max je lui parlais. Max je le regardais en pleurant. J'étais sure qu'il allait mourire. J'étais sure qu'il resterait dans le commat. Le jour où il s'est réveillé, c'était, c'est, et ce seras toujours le plus beau jour de ma vie. Je n'avais jamais été aussi heureuse. J'ai pleuré, ce jour-là. Mais cette fois-la, j'ai pleuré de joie.

Oooooooooooh ! Max ! Je l'aime bien lui ^^ Trop adorable la relation entre Marise-Max. Et tu sais les fautes que je reproche x)
Sinon c'est génial continue !

Les fautes que je TE reproche, pcq les fautes que je reproche, faut une suite alors x)
Le chap 4 arriive

Faute de frappe ;)

géniale cette suite !!
je comprends mieux comment il est arrivé a l'hosto, en fait je croyais qu'en allant livrer les pizzas à Marise il s'est fait boulé un truc comme ça, mais là ca fait beaucoup plus... dramatique !! on découvre qu'il est gentil etc. franchement je veux la suite, et faut faire revenir les filles hystériques !!! xD

AAARRRRG!!! OMG!!!!! C'EST PAS VRAAAAAAIIII!!!!!
J'ai passé presque UNE HEURE sur le chapitre 4 et il ne s'est pas enregistréééééééé!!!! NOOOOOOOOON!!!
Sinon merci x)
Je verais ce que je peux faire pour les filles hystériques ;)

qu'est-ce que ça peut etre embetant les buggs !! je me rappelle que pour m'inscrire j'en ai bavé - - '' a cause des buggs de mon ordi, sinon bonne chance pour le chapitre 4 !!

Ce chapitre va vous faire découvrir un peu plus en profondeur Andy, qui est un personnage que j'ai du mal à suporter mais beaucoup de faciliter à créer!

Chapitre 4 - Andréa va finire par me tuer
Driiiiing - Driiiiing - Driiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiing - TOC -TOC - Driiiing
"J'arrive!" hurlais-je ce matin là en enfilant mollement mon peignoir par dessus mon pyjama. Mon réveille indiquait 7h56 et je n'avais aucune envie de sortire de mon lit. Qui - à part un débile mentale - aurait pu avoir l'idée stupide de sonner à la porte de mon appartement comme un forcené le lendemain du pire samedi de ma vie?
"Oh, Marise! s'écria Andy alors que je venais à peine d'ouvrire la porte. Je te réveille?"
Je ne fus qu'étonnée à moitié, ce matin là, de voir ma chère copine dans l'encadrement de la porte.
"Oui, tu me réveille, marmonais-je en baillant. Qu'est-ce que tu viens faire ici un dimanche à 8h du matin?
- Il fallait absolument que je te parle!"
Andy avait beau avoir 5 téléphones portables différents, quand elle devait me parler, elle le faisait en face, ce qui avait le don de m'agacer. Ce jour-là, elle portait une petite jupe en jeans, un t-shirt moulant bleu électrique et des bottes à talons elles aussi bleu électrique.
"Bon, que voulais-tu me dire? dis-je en me servant un grand verre de jus de fruit.
- De quelque chose de très important!
- Qu'est-ce qui se passe ici? demanda Sacha en débarquant dans le salon, à moitié endormie.
- Qu'est-ce que tu fiche ici? s'écria Andy en se levant d'un bon sur ses talons aiguilles.
- Ici c'est MON apart, MON salon et donc MON droit de foutre ton petit derrière de catin DEHORS!"
Sacha et Andréa ne se suportaient pas. Elles étaient en tout point différente : Sacha était studieuse, Andy séchait régulièrement les cours. Sacha bossait, Andy dépensait. Sacha était célibataire, Andy était obsédée par le sex. Sacha était calme et simple, Andy était agitée et extravertie. Elles se détestaient, et je ne pouvais rien y faire.
"Sacha, s'il te plait! Andy doit me parler...murmurais-je.
- Bien, alors je vais m'habiller et aller TRAVAILLER un DIMANCHE parce que cette petite p**e squate mon salon! s'écria Sacha en claquant la porte de sa chambre.
- Désolée Andy...
- Ce n'est pas grave, répondit-elle. Elle ne m'aime pas et je lui rend bien!
- Bref...que voulais-tu me dire?
- Tu te souviens de Carl, tu sais, mon petit copain?
- Tu veux dire notre prof de math avec qui tu sors pour qu'il te note présente et avoir de bons résultats? Alors oui, je vois qui c'est.
- Oui. Au début, c'était bien pour ça. Mais maintenant, je crois bien que je suis amoureuse, Marise!"
Sous le coup de l'étonement, j'avalais de travers ma gorgée de jus de fruits et manquais de m'étoufer. Je n'arrivais pas à croire ce que je venais d'entendre. Andy n'était jamais tombée amoureuse, elle doutait même dans l'existance d'un tel sentiement. Chaque fois qu'elle sortait avec un mec, c'est qu'il y avait un interet positif pour elle à le faire (sexuel ou autre). Dans le cas de ce cher Carl, c'était parce qu'il était beau, naïf et surtout notre prof de math et titulaire : il était donc interressant pour elle d'être notée présente dans son cahier lors de ses absences régulières et injustifiées. Elle trouvait toujours un moyen d'avoir de bonnes notes sans aucun effort, et sans même être là : elle corompait les proffesseurs féminin et pour ce qui était des hommes, un regard agicheur et un passage express sous le bureau une fois de temps en temps sufisait emplement.
" Amoureuse? Tu me fais marcher là. répondis-je en riant faussement.
- Non, je suis très sérieuse! Regarde!" dit-elle en me montrant fièrement une bague à sa main gauche.
De nouveau, je m'étoufais à moitié.
"Vous êtes fiancés? m'exclamais-je
- Oui, nous allons nous mariés!
- Mais Andy! Tu es folle? Ça fait 2 mois que vous sortez ensemble et en plus, il a 30 ans! Tu vas à peine en avoir 18! Tu as bien réfléchis au moins?
- J'ai tout de suite dis oui! Et Marise, je vais te demander une seule chose.
- Quoi? demandais-je, sur mes gardes.
- Sois ma demoiselle d'honneur!"

yeeh ! l'hystérique est de retour ! elle va se marier, étrange... ( j'imagine pas le mariage xD ) et que devient Max ??? il est sorti du coma et on va le revoir j'espère ( oui oui c'est meme sur hein Nobuta ? x) )

Sinon j'adore la soudaine entrée d'Andy, pauvre Marise

Yume, tu n'as rien compris? Le chapitre 3 c'est un flash back >< ça c'est passé quand elle avait 15 ans, dans l'histoire elle en a 17. T'es sure d'avoir tout suivis?

mince !!! désolé je suis encore HS !! ( en fait je lis plein de trucs en meme temps alors je me mélange tout et n'importe quoi )

mon HSéité est de retour ( ça me l'avait pas fait depuis longtemps ça )

je comprends mieux maintenant, reredésolé ( ca me prend parfois, bon alors je comprends mieux la fin du chapitre 2, oook, tout est... clair )

bon je vais arreté de flooder et, commenter. je vais attendre sagement le chapitre 5

Merci :D

Je suis ok avec Yume x) Je pige plus là, tu dis pas que tu reviens dans le passé. ^^ Sinon c'est bien quand on sait que c'était avant x)

Ben c'est pas compliqué à comprendre --" dans le chapitre 2, Marise dit qu'elle a 17 ans, dans le chapitre 3 elle dit qu'à ce moment là elle avait 15 ans. Qu'est-ce que vous avez pas compris, franchement? En plus je dis qu'un mois plus tard il est sortit du comma ><

Sorry pour le double post : Coco Paradise est en pause momentanée, juré je vais me pencher dessus dés que possible mais j'ai beaucoup de boulot et je vais de moins en moins sur mon pc. Bizuuu :)

d'accord !! je te comprends, c'est un peu dur de jongler parfois entre ci et ça.